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La solution Ă  ce puzzle est constituéÚ de 9 lettres et commence par la lettre A Les solutions ✅ pour IL S EST FAIT CONNAITRE EN 1983 AVEC CARGO de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle Voici Les Solutions de Mots CroisĂ©s pour "IL S EST FAIT CONNAITRE EN 1983 AVEC CARGO" 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 Partagez cette question et demandez de l'aide Ă  vos amis! Recommander une rĂ©ponse ? Connaissez-vous la rĂ©ponse? profiter de l'occasion pour donner votre contribution! Similaires
IsorokuYamamoto. 4 avril 1884 Ă  Nagaoka (Japon) - 18 avril 1943 (Ăźles Salomon) Fils d'un samouraĂŻ modeste, Isoroku entre Ă  l'École navale et, peu aprĂšs, est blessĂ© Ă  Tsushima, pendant la guerre russo-japonaise. En 1916, il est adoptĂ© par une famille patricienne sans hĂ©ritier mĂąle. Elle lui donne son nom, Yamamoto.
Les sirĂšnes d'alertes se sont tues depuis une demi heure environ. L'espace aĂ©rien au-dessus de la ville et du port est rempli du vrombissement de milliers de moteurs allemands. Le ciel est Ă©claboussĂ© d'Ă©clatements de la DCA anglaise. AussitĂŽt l'enfer se dĂ©clenche de tous cĂŽtĂ©s Ă  la fois. Une pluie d'incendiaires descend sur les quais du grand port, sur les bassins des deux rives, les entrepĂŽts et la ville elle-mĂȘme. Une conflagration gigantesque se dĂ©clare. Des entrepĂŽts s'embrasent, leurs murs s'Ă©croulent dans un bruit infernal livrant ainsi passage Ă  leur contenu devenu incandescent, lequel se dĂ©verse ensuite sur les quais puis dans les bassins. Ces incendies dĂ©gagent non seulement une chaleur insupportable, mais des gaz toxiques, des fumĂ©es suffocantes et des nuages de vapeurs. Les grues s'Ă©croulent ou s'Ă©crasent. Vers cette heure lĂ , notre "LĂ©opold II" qui s'est fait tout petit reçoit sa premiĂšre participation Ă  la distribution gĂ©nĂ©rale. Pas moins d'une douzaine d'incendiaires l'atteignent, de toutes parts. Le premier officier Henry Dom, et le 4e mĂ©canicien Erasme Ansenne, aidĂ©s des quelques hommes Ă  bord, s'emparent prestement de ces engins, pour les rejeter incontinent dans le bassin. Il leur faut ĂȘtre rapides car ces engins peuvent prendre feu dans les mains, et alors... Le navire, nous l'avons dit, est en grande rĂ©paration. Quelques hommes seulement sont inscrits au rĂŽle, et de ceux-ci plusieurs sont bloquĂ©s en ville. Sous le commandement de Joseph Sarens les quelques prĂ©sents Ă  bord vont sauver leur navire et vous allez voir comment. C'est Ă  peu prĂšs Ă  ce moment que d'un coup s'embrase l'entrepĂŽt situĂ© Ă  l'avant du vapeur. TransportĂ©s par le vent et par les flammes Ă©normes et furieuses et aussi projetĂ©s par les explosions incessantes, des dĂ©bris incandescents se mettent Ă  pleuvoir dru sur le pont avant et sur les prĂ©larts des Ă©coutilles. Les manches Ă  incendie sont immĂ©diatement dĂ©roulĂ©es puis mises en route. Un puissant jet arrose maintenant l'avant du navire. Des fragments de toute nature traversent l'air en sifflant et s'abattent partout briques, pavĂ©s, morceaux de rails, Ă©clats de bombes et de la DCA, dĂ©bris de wagons, poutrelles, blocs de bĂ©ton et des tas de dĂ©bris d'origine indĂ©finissable, sans compter les colossales gerbes d'eau jaillies du bassin. Nos marins restent Ă  leur travail sans dĂ©faillance aucune, debout sous le souffle des explosives, tentant de rĂ©sister Ă  la chaleur Ă©pouvantable dĂ©gagĂ©e par les immenses brasiers qui, de toutes parts entourent maintenant le navire. Et tout cela sans autre protection, que leur farouche dĂ©termination et encore, peut-ĂȘtre, celle d'un casque d'acier... Mais voici que le vapeur Argos Hill 7178 tonnes, 1922 accostĂ© Ă  proximitĂ© du nĂŽtre prend feu d'un bout Ă  l'autre. Circonstance terrifiante l'immense brĂ»lot qu'est devenu ce navire toutes amarres brĂ»lĂ©es, se met Ă  dĂ©river dans le bassin et s'approche du notre. La chaleur est devenue infernale, l'Ă©nervement au paroxysme ; la respiration difficile. Des explosions formidables se produisent de toutes parts. Des volcans d'Ă©tincelles, des Ă©ruptions de dĂ©bris incandescents, jaillissent dans tout le ciel. Nos hommes sont projetĂ©s en tous sens par les dĂ©placements d'air. Vers deux heures du matin un choc se produit Ă  l'arriĂšre. Le vapeur tremble dans toutes ses membrures. Une bombe a touchĂ© directement chacun retient son souffle, s'attendant Ă  l'explosion qui va arracher l'arriĂšre du vieux vapeur... mais cette explosion ne vient pas... Sarens, Dom, Ansenne, et d'autres avec eux courent Ă  l'arriĂšre. Ils constatent que cette bombe est tombĂ©e sur la plate-forme du canon, a traversĂ© le pont de la dunette, le pont principal, la chambre du cuisinier et qu'elle est ressortie Ă  travers la coque du navire. Elle repose maintenant dans la vase du bassin. Curieux que cette bombe n'ait pas dĂ©tonnĂ©. Subitement l'idĂ©e leur vient ; si c'en Ă©tait une Ă  retardement ? ... Il ne manquerait plus que cela ! A moins que ce soit un ratĂ©... Que faire ? DĂ©haler vers l'avant ? Inutile d'y songer l'entrepĂŽt est une fournaise infernale. Ses murs et ses marchandises encombrent le quai et comblent partiellement le bassin. De plus les grues chavirĂ©es encombrent le plan d'eau... Pas moyen non plus de s'Ă©carter du quai car l'Argos Hill, toutes superstructures effondrĂ©es, cheminĂ©e pendant par-dessus bord et mats pliĂ©s continue de brĂ»ler de bout en bout. Il est tout prĂšs du flanc bĂąbord et il dĂ©gage une chaleur phĂ©nomĂ©nale. Sarens ne peut donc rien faire d'autre qu'attendre. AprĂšs tout rien ne dit que le mĂ©canisme du retardement n'est pas foutu. Si elle Ă©clate ? HĂ© bien on avisera alors. Nos hommes sont tirĂ©s de ce raisonnement par un nouveau dĂ©sagrĂ©ment. Les Allemands, volant bas, mitraillent tout ce qui se trouve devant leurs tubes. L'atmosphĂšre irrespirable rĂ©sonne de piaulements. AprĂšs le feu, aprĂšs les destructions, la mitraillade et on prĂ©tend que les marins du commerce ne sont point des combattants... Allons donc ! Pourquoi les a-t-on armĂ©s alors ? Les incendiaires ne cessent de pleuvoir. Celles qui s'Ă©crasent sur le quai Ă  tribord, sont immĂ©diatement Ă©teintes par nos marins, car elles Ă©clairent vivement le vapeur, et cela n'est pas nĂ©cessaire. Au cours de ces opĂ©rations-ci, Dom se brĂ»le griĂšvement le pied gauche. Cette alerte passĂ©e et Ă  peine nos hommes sont-il remontĂ©s Ă  bord, Sarens en serre-file, que ce dernier est lancĂ© avec violence contre une paroi de cabine. C'est le dĂ©placement d'air d'une explosive qui vient de dĂ©tonner lĂ  oĂč nos hommes travaillaient quelques secondes auparavant. Le capitaine est contusionnĂ© et ne pourra se servir de son bras gauche pendant plusieurs jours. Vers les trois heures du matin un geyser jaillit brusquement du fond du bassin, entre le couronnement tribord et le quai. La vase recouvre le quai et l'arriĂšre. C'est la bombe de tout Ă  l'heure qui secoue le navire. Dom, Ansenne et d'autres descendent prĂ©cipitamment dans la cale 4 afin d'y constater les dĂ©gĂąts subis. Des coutures sont crevĂ©es et par celles-ci l'eau jaillit avec force. Des coins de bois immĂ©diatement enfoncĂ©s dans les dĂ©chirures accessibles, ralentissent ces entrĂ©es d'eau. Ansenne remonte de la cale pour redescendre immĂ©diatement dans la chambre des machines. Il met les pompes en marche, mais elles n'Ă©talent pas. Les tuyauteries, on le constate alors, ont Ă©tĂ© dĂ©mantibulĂ©es. Sarens donne la permission d'ouvrir les trous d'homme du ballast 4. Ceux ci ne sont dĂ©vissĂ©s qu'avec beaucoup de peine, car il y a prĂšs de trois pieds d'eau par-dessus eux... L'eau s'engouffre aussitĂŽt dans le bouchain d'oĂč les pompes l'Ă©vacueront rapidement. De nouveaux coins sont enfoncĂ©s. Les rentrĂ©es d'eau sont maintenant sous contrĂŽle. Une couture est particuliĂšrement mal en point car, situĂ©e Ă  environ un pied sous la flottaison, elle est dĂ©chirĂ©e d'un pied dans le sens horizontal et d'un pied dans le sens vertical. Elle ne sera accessible que lorsque l'on aura pu se hisser jusqu'Ă  elle. Pendant ce temps lĂ , seul dans la chaufferie, et dans la machine Ansenne doit dĂ©coupler les tuyaux d'arrivĂ©e des bouchains la chambre des machines de façon Ă  pouvoir pomper directement de ces bouchains. Il lui faut aussi dĂ©couvrir suffisamment les feux afin d'avoir de la pression pour les pompes. Au dehors les explosions ne cessent pas. Au jour naissant, le paysage de la veille se trouve ĂȘtre totalement modifiĂ©. Personne ne s'y reconnaĂźt. Mais l'aube qui a chassĂ© l'Allemand permet aussi d'apercevoir deux bombes gisant sur le quai, et qui n'ont pas Ă©clatĂ©. Elles aussi sont, sans doute, Ă  retardement... La police du port donne, Ă  cinq heures, l'ordre d'Ă©vacuer le navire. Nos hommes la trouvent raide celle-lĂ , suite Ă  ce qu'ils viennent de subir pendant prĂšs de sept longues heures, mais il faut obĂ©ir... Des spĂ©cialistes "dĂ©sactivent" ces charmants engins et vers 7 heures, Sarens doit parlementer avec la police pour pouvoir, lui et ses hommes, retourner Ă  bord. Il craint en effet que l'eau qui continue d'envahir la cale 4 ne fasse tout simplement couler le navire. Bien lui en a pris d'agir de la sorte car, en ce faisant, il s'Ă©vite un danger plus grand, peut-ĂȘtre que tous ceux qui, ont menacĂ© jusqu'ici. En effet, rentrĂ© dans son domaine, Ansenne s'aperçoit qu'une chaudiĂšre est Ă  sec d'eau. Il n'aurait plus manquĂ© que celle-ci fasse explosion... Ensuite, Sarens fait remplir le ballast avant, modifiant ainsi l'assiette du navire. Celui-ci se retrouve le lendemain piquant du nez, mais avec les coutures dĂ©chirĂ©es de l'arriĂšre sĂ©chant Ă  l'air. Le navire est dans un Ă©tat pitoyable portes arrachĂ©e, tĂŽles de cabines dĂ©foncĂ©es, carreaux en miettes, mobilier brisĂ©, cabines dĂ©vastĂ©es, canot tribord partiellement incendiĂ©, etc... Nous n'avons pu dĂ©terminer avec certitude quelles Ă©taient les personnes Ă  bord. Mais de divers Ă©lĂ©ments recueillis nous pouvons citer Joseph Sarens capitaine Henry Dom chief officer Erasme Ansenne 4e mĂ©canicien Auguste Vermaelen maĂźtre d'hĂŽtel Pierre Vermeulen cuisinier Des six personnes suivantes, certaines d'entre elles Ă©taient peut-ĂȘtre Ă  bord mais nous ne saurions spĂ©cifier lesquels Wellens, Coorman, Geeraerts matelots Henri Sels, Joseph Everdepoel, Louis Petit donkeymans Ces hommes ne figurent d'ailleurs pas tous au rĂŽle d'Ă©quipage, de plus certains de ces hommes rĂ©guliĂšrement inscrits n'Ă©taient plus prĂ©sents Ă  bord. Nous avons eu le double du rĂŽle en main, seul document existant encore. Circonstances de l'Ă©poque... RĂ©parĂ©, le vapeur va Ă  Wabana Terre-Neuve sous le commandement de A. Costermans. Il en revient avec une cargaison de minerai de fer mais doit passer en cale-sĂšche pour subir de nouvelles rĂ©parations. Ils'est fait connaĂźtre en 1983 avec Cargo Solution Cette page vous aidera Ă  trouver toutes les solution de CodyCross Ă  tous les niveaux. C’est la tant attendue version Française du jeu. N’oubliez pas que si tout va bien, veuillez contacter notre personnel en laissant un commentaire ci-dessous afin que nous puissions vous aider. Si vous cherchez des rĂ©ponses, alors vous Bien qu’il se fasse plutĂŽt rare sur les plateaux tĂ©lĂ©, Axel Bauer n’a pas pour autant arrĂȘtĂ© sa carriĂšre musicale. Comme ses compĂšres, le chanteur observe une pause forcĂ©e du fait de la crise s’est fait connaĂźtre du grand public en 1983 grĂące Ă  son tube ÊșCargoÊș. Cette mĂ©lodie pop-rock a vĂ©ritablement lancĂ© sa carriĂšre et l’a propulsĂ© vers les sommets. Le 7 avril 2021, il soufflait sur sa 60iĂšme bougie. C’est l’occasion idoine de se pencher sur sa vie A COLLABORÉ AVEC PLUSIEURS ARTISTESJusqu’en 2013, Axel Bauer sortait des albums Ă  une frĂ©quence assez rĂ©guliĂšre. Il a composĂ© et Ă©crit pour de grands noms de la musique française. L’on peut citer Ă  titre illustratif Julie Zenatti ÊșPense Ă  nousÊș en 2009 et Johnny Hallyday ÊșJ’ai rĂȘvĂ© de nousÊș en 2003.Il a aussi chantĂ© en duo avec Zazie ÊșA ma placeÊș en 2001 et Florent Pagny ÊșTerreÊș en 1988.PLUSIEURS ƒUVRES COLLECTIVESAxel Bauer a Ă©galement participĂ© Ă  plusieurs albums collectifs. De 2002 Ă  2006, il a fait partie de la troupe des ÊșEnfoirĂ©sÊș. Il a Ă©crit un morceau pour la comĂ©die musicale ÊșDraculaÊș et interprĂ©tĂ© le disque-livre pour enfants ÊșL’Ecole des toutes ces expĂ©riences, celui qui a perdu son papa en 2018 avait besoin de faire un break. Il s’est exilĂ© plusieurs mois dans le Sahara avant de faire son ACTUALITÉ RÉCENTEEn 2019, le chanteur a participĂ© Ă  l’album instrumental ÊșUnited GuitarsÊș. Ceci lui a valu d’ĂȘtre l’une des stars du 38iĂšme Festival de Blues de Cahors. Il avait prĂ©vu se produire en 2020 et mĂȘme en 2021, malheureusement pour lui la pandĂ©mie mondiale en a dĂ©cidĂ© profite donc de la trĂȘve forcĂ©e pour se ressourcer et revenir plus fort comme Ă  son habitude. L’équipe d’Amomama lui souhaite un bel et heureux HERNANDEZ "BORN TO BE ALIVE" A 72 ANS SA VIE ACTUELLEPatrick Hernandez, le roi du disco et interprĂšte du lĂ©gendaire ÊșBorn to Be AliveÊș, a fĂȘtĂ© son 72iĂšme anniversaire le 6 avril de Patrick Hernandez. Photo Getty ImagesPlus de 40 ans aprĂšs sa sortie, le tube continue d’avoir du succĂšs et defaire danser les amoureux du disco. Nous nous sommes intĂ©ressĂ©s Ă  la vie actuelle du chanteur. DĂ©cryptage.

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En1977, Alain ChĂ©nard, Ă  la tĂȘte d’une liste d’union de la gauche, est Ă©lu au second tour avec 50, 3% des voix. Il est renversĂ© en 1983 par Michel Chauty, sĂ©nateur de Loire-Atlantique, qui mĂšne une liste d’union de l’opposition (RPR, UDF, CNIP) dĂšs le premier tour, avec 50, 48%. A partir de 1989, Jean-Marc Ayrault est Ă©lu Ă  chaque scrutin au premier tour : 50,

Archives L'enseignement, la recherche, l'interprĂ©tariat sont les traditionnelles ambitions professionnelles des Ă©tudiants en langues. L'institut national des langues et cultures orientales Inalco, plus connu sous son ancienne appellation de " langues O " et rattachĂ© depuis 1971 Ă  l'universitĂ© de la Sorbonne nouvelle Paris-III, accueille chaque annĂ©e de sept Ă  huit mille Ă©tudiants. Ses diplĂŽmĂ©s peuvent passer des concours administratifs de haut niveau, tels les " concours d'Orient " secrĂ©taire et secrĂ©taire adjoint aux relations extĂ©rieures. Mais les autres dĂ©bouchĂ©s sont rares, et, depuis 1971, l'Inalco essaie d'inflĂ©chir cette orientation. C'est le but du Centre de prĂ©paration aux Ă©changes internationaux Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s " La connaissance d'une langue est indispensable pour s'implanter dans un pays ", explique un jeune Ă©tudiant en chinois, ancien du qui travaille maintenant dans une grande entreprise d'informatique. " Il faut connaĂźtre la Chine pour nĂ©gocier avec les Chinois. Sinon, c'est, pour certains la crise de nerfs et le retour en France quatre mois plus tard. " Un cadre d'une entreprise nationalisĂ©e Ă©met le mĂȘme jugement. AprĂšs avoir Ă©tudiĂ© le chinois Ă  l'Inalco, il se destinait Ă  la recherche universitaire, mais les dĂ©bouchĂ©s Ă©taient rares et la " sinologie trop figĂ©e ". Il est entrĂ© dans cette sociĂ©tĂ© oĂč il cherche aujourd'hui, par ses propres moyens, Ă  acquĂ©rir les bases d'une formation au commerce international. Mme Janine Berman, directrice du estime que la motivation et la compĂ©tence des Ă©tudiants du centre est une " garantie de rĂ©ussite " pour les entreprises. Les enseignements en Ă©conomie, en gestion, en marketing, sont dĂ©sormais assurĂ©s par des professionnels, " pour avoir un enseignement au plus prĂšs de la rĂ©alitĂ© ". Les universitaires n'interviennent que pour les cours de langues. Outre leur formation Ă©conomico-commerciale, les Ă©tudiants suivent des " unitĂ©s de valeur " plus " pointues ", programmĂ©es en fonction des spĂ©cificitĂ©s de la langue, de la civilisation, de la politique concernĂ©es. L'Ă©tudiant en russe reçoit un cours sur la " politique industrielle de l' ", l'arabisant, sur la place du monde arabe dans la vie internationale. Ceux qui parlent japonais ou chinois ont plus de chances de trouver du travail que les adeptes du russe, qui doivent lutter contre la mĂ©fiance des pays de l'Est Ă  l'Ă©gard du dĂ©veloppement de l'activitĂ© industrielle des pays occidentaux. Les Ă©tudiants arabisants de sexe masculin se placent aisĂ©ment sur le marchĂ© de l'emploi, mais les filles qui reprĂ©sentent environ les trois quarts des effectifs de l'Inalco Ă©prouvent plus de difficultĂ©s dans les pays islamiques. D'autre part, ce sont les ressortissants de la Tunisie et du Liban, pays officiellement bilingues, qui sont les spĂ©cialistes arabes du commerce international. La nĂ©cessitĂ© de Français parlant l'arabe se justifie donc moins. Il vous reste de cet article Ă  lire. La suite est rĂ©servĂ©e aux abonnĂ©s. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă  la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă  la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă  consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă  lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă  des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
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Je crois qu’il est temps d’en parler, de dire ce qu’il s’est rĂ©ellement passĂ©. Comment, sur un cargo naviguant en pleine mer, un passager Ă  rĂ©ussi Ă  disparaĂźtre. Six jours Ă  bord, ce n’est pas suffisant pour connaĂźtre les trente membres de l’équipage du porte-conteneurs le Lisa Marie. Mais peu Ă  peu, j’ai commencĂ© Ă  retenir les visages, les noms puis les grades de beaucoup d’entre eux. Je sais qui est ingĂ©nieur, qui s’occupe du systĂšme Ă©lectrique, de la sĂ©curitĂ© Ă  bord et surtout, ceux qui forment la watch team. J’y ai passĂ© des heures dans cette grande tour de navigation, j’étais prĂ©sente lorsqu’on a manƓuvrĂ© pour quitter le port de Buenaventura. Je me souviens trĂšs bien de tous les officiers qui s’activaient pour faire bouger notre gros ventre du port. Il Ă©tait lĂ , un petit peu Ă  l’écart des autres, assis sur une chaise haute en bois comme s’il Ă©tait au bar et qu’il attendait une pinte. Il avait une casquette, un t-shirt rouge et il regardait tantĂŽt dehors, tantĂŽt le tracĂ© du bateau sur son Ipad. Mais surtout, il Ă©tait plus ĂągĂ© que tout le monde Ă  bord, je l’ai su tout de suite. Il ressemblait Ă  un vieux marin qui avait parcouru toutes les eaux chaudes du globe. On aurait dit qu’il vĂ©rifiait tout, qu’il supervisait je dirais mĂȘme. Juste derriĂšre lui, le capitaine du Lisa Marie donnait ses ordres pour que l’on ajuste notre trajectoire. Et lorsqu’on s’est pleinement positionnĂ© dans l’axe, on est parti tout droit loin du port en s’enfonçant dans le noir de la mer. Je suis descendue du pont Ă  ce moment-lĂ , il n’y avait plus rien Ă  voir et j’avais faim. La traque Les jours passaient et je commençais reconnaĂźtre les membres de l’équipage. Je savais mĂȘme Ă  prĂ©sent qui Ă©tait roumain et qui Ă©tait ukrainien. Un matin en explorant les longs couloirs du navire, je me suis rendue compte que la liste des membres du crew Ă©tait affichĂ©e sur les murs. Les noms, les grades, les numĂ©ros de passeport, les dates de naissance de chacun Ă©taient indiquĂ©s et classĂ©s par ordre hiĂ©rarchique. Alors que je scrutais mĂ©ticuleusement chaque ligne pour essayer de m’en souvenir, je fis une dĂ©couverte qui m’horrifia. J’étais la derniĂšre du classement ! Ils m’avaient mise 32Ăšme et bonne derniĂšre. J’étais sacrĂ©ment vexĂ©e d’ĂȘtre en queue de peloton. Mais autre chose m’a tout de suite sautĂ© aux yeux il manquait quelqu’un dans la liste. Car c’était Ă©vident, en parcourant toutes les dates de naissance, il manquait le vieux marin sur sa chaise haute de bar. C’était impossible qu’il soit l’un d’entre eux puisque personne Ă  bord n’avait visiblement plus de 50 ans. Il Ă©tait plus ĂągĂ©, je m’en souvenais trĂšs bien, au moins 67 ans. Alors pourquoi n’y Ă©tait-il pas ? OĂč se cachait-il et pourquoi ? Jamais il n’est revenu dans la wheel house, je l’aurais vu, et jamais il n’est venu manger Ă  la table des officiers. Visiblement il ne s’intĂ©ressait plus Ă  la navigation et il n’avait pas besoin de nourriture. Alors j’ai commencĂ© Ă  enquĂȘter discrĂštement en demandant au capitaine En dehors du crew et des deux passagers, il y a d’autres personnes Ă  bord ? –Pas en ce moment non, mais c’est une bonne question. Par exemple, le jour oĂč tu es montĂ©e, deux Allemands sont descendus, des ingĂ©nieurs chargĂ©s de mesurer le niveau de vibration du navire, celles Ă©mises par le moteur. Ils sont restĂ©s quelques jours, tout comme un inspecteur britannique d’ailleurs, qui vĂ©rifiait que la sĂ©curitĂ© Ă  bord Ă©tait bien assurĂ©e». Il se foutait de moi, ce n’était pas possible autrement. C’est qui le vieux alors ? Et oĂč est-il ? Pourquoi personne ne parle jamais de lui ? Peu Ă  peu, cette histoire a commencĂ© Ă  m’obsĂ©der. J’aurais pu le demander franchement Ă  n’importe qui mais je n’ai pas osĂ©. Alors j’ai continuĂ© mon enquĂȘte, j’avais encore une autre idĂ©e. Le barbecue Je crois pouvoir dire que c’était un peu en mon honneur. Le samedi aprĂšs-midi, le capitaine avait dĂ©cidĂ© d’organiser un barbecue pour l’ensemble du crew sur l’un des pontons du navire. D’aprĂšs les autres, cela faisait trĂšs longtemps qu’il n’en avait pas fait. Aujourd’hui, il voulait faire plaisir Ă  tout le monde et aussi un peu Ă  moi, la seule fille Ă  bord. L’occasion Ă©tait parfaite, pour la premiĂšre fois au milieu des merguez et du taboulĂ©, il y aurait tout le monde rĂ©uni au mĂȘme endroit. Nous avions rendez-vous Ă  15 heures, quand je suis arrivĂ©e, la scĂšne Ă©tait sublime trente marins souriants, la musique forte comme jamais car on savait bien qu’on n’allait pas dĂ©ranger grand monde sur l’ocĂ©an, de la fumĂ©e qui filait Ă  la mĂȘme vitesse que le bateau, quelques biĂšres et une bouteille de vin blanc Français. Ils avaient tous l’air drĂŽlement heureux de faire enfin autre chose, quelque chose de presque normal. On tournait les saucisses sur le grill au milieu de centaines de conteneurs comme si on l’avait fait chez un collĂšgue qui avait un petit jardin. A un moment, tout le monde s’est mĂȘme appuyĂ© contre la balustrade pour regarder les dauphins qui s’élançaient dans les vagues. Je m’assois Ă  table sur une chaise laissĂ©e vide pour moi, Ă  la droite du capitaine. Peu de visages me sont familiers. Ils sont tous lĂ , ceux que je ne vois jamais, ceux qui ne sont pas officiers et qui travaillent Ă  plus de 200 mĂštres de ma cabine. Ils sont jeunes, souvent blonds, quelques tatouages sur la nuque ou les mollets. Parmi eux, je suis bien heureuse de reconnaĂźtre l’homme qui le premier jour avait portĂ© Ă  lui seul tous mes sacs sur l’immense escalier menant vers le ciel. Je lui souris, il me fait un clin d’Ɠil. A table, tout le monde rit et se ressert plus que de raison. Je suis le mouvement moi aussi et verse copieusement du vin blanc français dans mon verre. Entre chaque gorgĂ©e, je balaye le pont des yeux mais rien n’y fait, mon passager mystĂšre n’est pas lĂ . Je dĂ©cide alors d’investiguer davantage. Avant de venir, j’ai pris la liste des membres du crew avec moi. A cĂŽtĂ© de moi, il y a le second ingĂ©nieur, Camil. On a le mĂȘme Ăąge et c’est un grand bavard, je n’ai aucun mal Ă  l’utiliser pour mettre un nom sur les visage. La liste Ă  la main, nous faisons discrĂštement l’appel. Yuri, c’est celui qui est Ă  cĂŽtĂ© des courgettes, le visage trĂšs rond, les yeux slaves. Igor, c’est la montagne lĂ -bas, celui qui se lĂšve pour prendre du pain. Oh, je reconnais Rubil Ă  trois chaises de moi, le second officier toujours froid et distant avec moi. Et puis, on prend le temps de passer les huit Sacha en revue, ça Ă©limine dĂ©jĂ  beaucoup de suspects. Mais personne ne correspond au profil, c’est Ă©vident. Soudain, une idĂ©e lumineuse me vient Mais qui pilote le bateau en ce moment pendant qu’on mange ?! – C’est Laurentiu le puni, tu le connais bien, c’est ton modĂšle photo prĂ©fĂ©rĂ© ah ah !» plaisante Camil en guise de rĂ©ponse. Il a raison, je le connais bien et je suis extrĂȘmement déçue. Alors j’en viens Ă  la conclusion la plus Ă©vidente le passager mystĂšre ne mange pas. C’est un ĂȘtre sans appĂ©tit qui se nourrit d’autre chose, d’une autre substance, mais de quoi ? Ou alors, peut-ĂȘtre qu’il est otage quelque part, que quelqu’un l’a enfermĂ© dans les bas-fonds du bateau ? Est-ce possible qu’il soit dans un conteneur ? Je n’en sais rien, mais je vais le trouver. Il y a eu des manquements de sĂ©curitĂ© » Le lendemain au petit-dĂ©jeuner, le capitaine a une autre surprise pour moi, il organise ce jour-lĂ , une rĂ©union de l’ensemble du crew sur la sĂ©curitĂ© Ă  bord. Il y a eu quelques manquements, quelques incidents Ă  bord et je dois mettre les choses au clair», m’a dit le capitaine en guise d’invitation. Je suis trĂšs surprise mais heureuse d’ĂȘtre conviĂ©e Ă  ce meeting, c’est la premiĂšre fois que j’ai l’impression d’avoir un rĂŽle. L’heure venue, tout le monde doit descendre dans le bureau des officiers au niveau de l’upper deck. Et Ă  cet Ă©tage, il est obligatoire de porter la combinaison intĂ©grale et les chaussures de sĂ©curitĂ©. Ce qui existait encore de fĂ©minitĂ© en moi s’en trouve tout d’un coup anĂ©anti. J’arrive dans la salle, je suis la derniĂšre Ă  m’installer. On me libĂšre tout de suite une chaise, comme si j’étais importante, comme si j’allais devoir parler. Le capitaine passe tout en revue le coronavirus, les manquements aux rĂšgles d’hygiĂšne, les fautes relevĂ©s sur le ponton, comme un casque mal ajustĂ© ou l’oubli des gants, les rapports de sĂ©curitĂ© rendus en retard
 On fait aussi un point sur la qualitĂ© de l’huile, l’usage du carburant, la vitesse du navire et les process de sĂ©curitĂ©. J’écoute attentivement tout en balayant l’assemblĂ©e. Je reconnais les huit Sacha, le chef ingĂ©nieur, le cuisinier, le second ingĂ©nieur et les yeux bleus de Mihael qui me fixent Ă  l’autre bout. Mais toujours pas de passager mystĂšre. C’est trĂšs clair, ce vieil homme ne pilote pas le navire, n’aime pas les saucisses et s’en fiche de la sĂ©curitĂ© Ă  bord. L’aveu Pour fĂȘter mon dernier soir Ă  bord, nous avions dĂ©cidĂ© de descendre une bouteille de mauvais vin. J’étais bien triste d’abandonner le navire si tĂŽt, aprĂšs seulement six jours de mer, et bien triste de partir sans avoir rĂ©solu cette satanĂ©e enquĂȘte. AprĂšs tout, peut-ĂȘtre que je l’avais imaginĂ© ce vieil homme
 Qu’importe puisque Ă  prĂ©sent nous cĂ©lĂ©brons tous ensemble ma derniĂšre soirĂ©e. Et puis, c’est arrivĂ© d’un coup, comme la nuit qui tombe trop tĂŽt et surprend tout le monde. Nous arrivions presque au PĂ©rou, les lumiĂšres du port nous appelaient dĂ©jĂ  comme des sirĂšnes. Alors que j’étais dĂ©jĂ  bien avinĂ©e et commencais Ă  monopoliser la conversation, le passager Allemand m’a interrompu avec cette question aux officiers Sait-on Ă  quelle heure arrive le pilote ? – Oh il est dĂ©jĂ  Ă  bord depuis une heure, on arrive là», rĂ©pondit tranquillement Camil. Le pilote ? C’est qui ça le pilote ?» demandais-je en essayant de suivre leurs propos. -Ben c’est le mec qui est employĂ© du port et qui aide le crew du navire Ă  quitter le port ou s’y amarrer. –Mais comment ça il est Ă  bord ? Il est lĂ  en ce moment c’est ça ?» Je parle si fort et si vite que tout le monde me fixe avec surprise. Camil me regarde perplexe et rĂ©pond finalement Pour quitter le port de Buenaventura, un pilote colombien est montĂ© Ă  bord pour nous aider Ă  manƓuvrer, ensuite un petit bateau s’est collĂ© Ă  nous en pleine mer et le pilote est descendu via une passerelle. Ici aussi, avant qu’on arrive, un pilote pĂ©ruvien est montĂ© Ă  bord avec un petit bateau. Il vient nous guider». Un pilote !

mjbb.
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  • il s est fait connaitre en 1983 avec cargo